Des gynécologues réputés dans le monde entier ont eu le courage de dénoncer les effets secondaires désastreux des méthodes contraceptives. L'éminent médecin anglais, le docteur F.J. Mac CANN, gynécologue exerçant dans deux des plus grands hôpitaux de Londres et auteur des titres suivants : « LES DANGERS DE LA CONTRACEPTION », « CONTRACEPTION : UNE CAUSE COMMUNE DE MALADIES », « EFFETS DE LA PRISE DE CONTRACEPTIFS SUR LES ORGANES GENITAUX FEMININS », a affirmé : « Toutes les méthodes contraceptives sont préjudiciables à la femme ».
La Fédération Mondiale des Médecins, qui a son siège en Belgique, qui est dirigée par le Docteur K. F. GUNNING et qui comprend plus de trois cents mille médecins dans le monde entier, parmi lesquels le très réputé Docteur Jérôme LEJEUNE qui est professeur de génétique fondamentale à l'Université de Paris, a dénoncé les effets des contraceptifs dans de nombreux livres, conférences données dans des universités, etc…
Un des membres de la Fédération écrivit le livre : « LE CONTROLE DES NAISSANCES. POURQUOI MENT-ON AUX FEMMES ? » qui fut diffusé dans le monde entier.
.: PILULES ET INJECTIONS.
Les pilules, les implants, les patchs, les injections, etc. sont composés d'hormones de synthèse : l'œstrogène et la progestérone. Lorsqu'on les utilise, ces hormones de synthèse passent dans le sang vers la glande pituitaire, en lui laissant croire que la femme est enceinte, alors qu'elle ne l'est pas en réalité.
Le but de ces contraceptifs est de créer un faux état de grossesse. Ainsi, la glande pituitaire « est trompée », les glandes endocrines fonctionnent comme si la femme était enceinte, ce qui cause des déséquilibres glandulaires au niveau de : la tyroïde, du pancréas, de la glande pituitaire et pinéale, des surrénales et des glandes sexuelles.
Ce faux état de grossesse a pour conséquence que les ovaires ne travaillent pas, c'est-à-dire que la femme ne libère plus d'ovules et que ceux-ci restent bloqués, ce qui provoque une perte progressive de l'appétit sexuel, ce qui aboutit souvent à rejeter le mari.
A cause de cette fausse grossesse, la femme, en principe, présente tous les symptômes propres à la grossesse, tels que nausées, douleur dans les seins, mal de tête, etc. mais, par la suite, elle s'y habitue. Les oestrogènes synthétiques provoquent une augmentation des cellules, ce qui est à l'origine du cancer du sein et de la matrice.
Comme elle ne produit plus d'ovules, la femme ne produit plus ses oestrogènes naturels ce qui fait que, progressivement, son appétit sexuel va aller en diminuant, ce qui entraînera des problèmes avec son mari qui, souvent, mènent à la séparation.
Le fait de ne plus produire d'oestrogènes naturels, ce qui empêche le corps d'assimiler le calcium, est la principale cause de l'Ostéoporose. De plus, des changements et transformations structurelles et enzygmatiques se produisent au niveau de revêtement interne de l'utérus (endométrie) et dans les trompes de Faloppe, ce qui fait que les ovaires et la matrice commencent à s'atrophier.
Jérôme LEJEUNE, père de la génétique moderne, affirme que les oestrogènes aident au développement du cerveau, lequel ne se complète si ce n'est à 18 ans, après, les contraceptifs empêchent le développement du cerveau de différentes manières jusqu'à présent inconnues.
Dans le fœtus, c'est-à-dire, dans le ventre de la mère, le nombre de follicules est de un million par ovaire (après la naissance, il n'y a plus de follicules nouveaux) ; à la naissance, chaque ovaire contient de 250 à 500.000 follicules. A la puberté, chaque ovaire contient de 100 à 200.000 et aux alentours de 40 ans, ce nombre est approximativement de 8.000.
Environ 400 follicules mûrissent durant la période de fécondité de la femme et le surplus s'évacue à un moment de son développement. Les pilules, injections et implants, en atrophiant les ovaires, ce qui provoque une dégénérescence d'une plus grande quantité de follicules, réduisent les possibilités de vide, l'appétit sexuel et certains cas ont été rapporté de jeunes qui, pour avoir utilisé des injections, dont restés stériles pour tout le reste de leur vie.
Aux alentours de 18 ans, le développement des ovaires de la femme est complètement terminé. Si ces femmes utilisent des contraceptifs avant cet âge, ceci peut provoquer la stérilité de la matrice et une frigidité sexuelle.
Actuellement, de nombreuses jeunes étudiantes bachelières utilisent ces contraceptifs, ont un homme et leurs parents ne savent absolument rien et elles sont en train de se meurtrir sexuellement.
Ce qui est plus grave, c'est lorsqu'une femme donne le sein à son enfant et que les médecins, inconscients, lui prescrivent des contraceptifs pour ne plus produire d'oestrogènes ; l'enfant n'assimile alors plus le calcium, ce qui perturbe son développement osseux, cérébral, endocrinien, etc. De plus, ces hormones synthétiques affectent le développement sexuel de l'enfant, lui créant des tendances homosexuelles ou lesbiennes.
Pour mieux comprendre l'effet des pilules dans le temps, dans l'espace et ses conséquences dans l'héritage génétique ; ainsi comme les déséquilibres des organes, endocriniens, etc., qui se créent ; utilisons l'exemple suivant : Quelqu'un possède une terre vierge et bien préparée à être cultivée (une femme), où n'importe quelle semence peut germer avec facilité. Supposons que le propriétaire de la terre ne veut pas obtenir de fruits et y pulvérise des produits stérilisants de façon régulière, chaque jour ou chaque mois.
La terre perd sa capacité de donner la vie et ses mécanismes biologiques s'altèrent. Supposons que ce mode de stérilisation est employé durant cinq ans mais, après ce temps, l'agriculteur décide d'obtenir des fruits. La question est : Cette terre sera-t-elle dans de bonnes conditions? La réponse est évidente : Il est clair que c'est non ! Et certainement que les fruits (les fils) qui arriveront dans cette terre (la femme) auront des déséquilibres et d'autres conséquences.
Pour connaître la grandeur du mal causé par les Oestrogènes et la Progestérone de synthèse dans les contraceptifs, nous devons comprendre l'échec de la Thérapie Hormonale de Substitution (THS), o^les scientifiques s'étaient rendus compte que la thérapie unique avec Oestrogène augmentait considérablement les risques pour la femme de développer un cancer de l'utérus, raison pour laquelle on y ajouta la Progestérone. Ce fut fait lorsqu'on reconnut l'échec. Dans un journal qui parcourut le monde en mai 2003 et qui fut publié dans l'édition de la Revue de l'Association Médicale Américaine (American Medical Association), on explique le mal que causent les compléments hormonaux, particulièrement aux femmes âgées de plus de 60 ans.
Selon l'étude, les femmes qui ont pris des hormones pendant environ quatre ans courraient un risque multiplié par deux de développer une débilité sénile ou d'autres formes d'incapacité mentale, comparées à celles qui avaient pris des placebos.
Les investigateurs trouvèrent également que les hormones ne protégeaient pas d'autres formes moins sévères de diminution mentale, comme la perte légère de mémoire.
Une explication possible, des nombreuses recherches, c'est que les hormones augmentent le risque d'Apoplexies qui, on le sait, causent des lésions au cerveau, aboutissant à la démence, dirent les investigateurs.
Et ces souffrances causées par ces hormones de synthèse affectent également les femmes plus jeunes, mais dans une autre mesure.
C'est pour cela qu'il ne faut jamais recommander l'usage d'une quelconque pilule ou injection contraceptive, vu que ce sont des drogues à base d'hormones de synthèse, pour rendre malades des femmes en bonne santé.
Nous ne recommandons pas non plus les implants, les patchs, les stérilets ni la ligature des trompes.
Pourquoi la science insiste-t-elle avec ces contraceptifs, en enlevant la liberté biologique à la femme, et en la faisant devenir un robot hormonal?
Pour rappel: seuls les arbres flétris et malades ne donnent pas de fruits. L'Administration des Etats-Unis pour les aliments et les médicaments (FDA) a établi que Depoprovera doit comporter un avertissement parce que son usage peut entraîner une perte significative de la masse osseuse. Le 23 décembre 2004, des investigateurs de l'Université ont confirmé el problème de la perte de densité osseuse due à la depoprovera. Suivant les études, la masse osseuse, dans chaque cas, au commencement de la depoprovera est de 2,8 % et arrive à 5,8 % après deux ans.
La perte de la masse osseuse au niveau de l'épine dorsale a également été constatée.
.: PATCHS – EFFETS SECONDAIRES MORTELS.
Le 4 avril 2004, le New York Post nous informait du cas de Zakia Kennedy, âgée de 18 ans qui était morte suite à la formation de caillots de sang, dus à son patch contraceptif.
Environ trois semaines avant sa mort, elle avait abandonné les pilules contraceptives au profit d'un patch. Le journal poursuivit avec un reportage du 19 septembre qui reliait le patch Ortho Evra, le seul commercialisé aux Etats-Unis à cette époque, aux décès d'environ 17 femmes en deux ans. L'article ajoutait qu'il apparaissait que d'autres femmes qui avaient utilisé le patch avaient souffert de complications, en ce compris 21 cas de « menaces de mort » dues à des caillots de sang et à d'autres maux. Les renseignements fournis provenaient d'information de la FDA obtenues par le journal.
La préoccupation des risques pour la santé des autres contraceptifs a obligé récemment la FDA à corriger une annonce télévisée. L'agence Reuter informa le 30 décembre que la FDA avait averti la firme Barr Pharmaceuticals que ses annonces sur les pilules Seasonale ne mentionnaient pas les effets secondaires causés dans le sang de manière importante.
La FDA a averti la société que son annonce trompait les consommateurs par manque d'information, de manière à ce que la pilule contraceptive paraisse plus sûre. L'annonce se fit par une lettre envoyée à la société et rendue publique par la FDA le 29 décembre. En plus des problèmes sanguins, l'étiquette de la pilule met en garde contre les autres effets secondaires, y compris les caillots de sang, les attaques cardiaques et les crises d'apoplexie. Mais les annonces, observa la FDA, se servent de « visualisations irrésistibles » et de « rapides changements de scènes » avec d'autres techniques qui détournent de l'information de l'annonce.
.: RU-486 ET LA PILULE «DU LENDEMAIN».
Le docteur Jérôme Lejeune, père de la génétique moderne et réputé pour sa trisomie du chromosome 23, a considéré le RU-486 comme le premier poison contre l'homme, car il tient comme seule indication médicale, de supprimer une vie déjà commencée. Le RU-486 transforme la femme en agent principal qui va tuer l'enfant à naître. Les préoccupations de santé ne se limitent pas uniquement aux contraceptifs. La pilule abortive RU-486 a provoqué quelques décès.
Un des cas les plus connus, ce fut en 2003, la mort de Holly Patterson, une californienne de 18 ans qui décéda d'une septicémie, après avoir pris le RU-486.
Le père de Holly, Monty Patterson, a déclaré que la FDA devrait interdire la pilule abortive après qu'il eut appris un troisième décès suite à sa consommation, information publiée le 16 novembre dans l'Associated Press. Le même jour, le New York Times écrivit que la FDA avait demandé de renforcer l'étiquette d'avertissement des risques du RU-486.
.: Contraceptif d'Urgence
Ce qui est appelé le moyen Contraceptif d'Urgence et la Pilule du Lendemain, en réalité, ce ne sont pas des contraceptifs mais des moyens abortifs. Il faut comprendre que la vie commence au moment de la fécondation de l'ovule et non lorsque celui-ci se fixe dans l'utérus. Après la femme qui utilise ces moyens, avorte et doit en répondre devant la Loi Divine. La pilule abortive du lendemain, avec son taux très élevé d'oestrogènes, amène progressivement de grands déséquilibres endocriniens, surtout dans le domaine sexuel.
Les pilules du lendemain peuvent retarder les règles jusqu'à un mois. Parmi les effets dus au dosage hormonal on note : mal de tête, vomissements, nausées, sensibilité des seins, fatigue, rétention d'eau et de sang, comme menstruation.
Suite à l'affaiblissement de l'utérus ou matrice ou à l'avortement même, une douleur abdominale peut apparaître, aussi dans la poitrine, des difficultés pour respirer, une vision trouble et de fortes douleurs dans les jambes.
Si on l'utilise de manière fréquente, il peut se produire des complications fatales telles que des veines ou des artères bouchées, des attaques cardiaques, des arrêts du cœur, des disfonctionnements de l'utérus, une tension artérielle élevée.
.: DISPOSITIFS INTRAUTERINS OU STERILETS.
Son but est de produire une inflammation permanente et stérilisante dans la matrice, ce qui n'est pas correct, puisqu'il y va de la santé de la femme. Durant les règles, la glande pituitaire fait des efforts pour expulser ce corps étranger, en augmentant les contractions de l'utérus et, comme la matrice est enflammée, il se produit des coliques, des hémorragies qui amènent de l'anémie, de la pâleur, de la débilité, du liquide mal odorant, des douleurs dans la matrice, des blessures dans le vagin, etc. Il augmente de 700 % le risque de grossesse extra-utérine. Le dispositif est abortif. Souvent ces dispositifs bougent, causant des perforations, des ulcères et, dans certains cas, la mort de la femme. VOIR L'ANIMATION 1 Témoignage vidéo : C'est la mort, je vais mourir! 1 2 3 4
.: LIGATURE ET COUPURE DES TROMPES.
Lorsqu'on coupe ou qu'on ligature les trompes et qu'arrivent les règles, l'ovule qui normalement doit passer pour être fécondé ou expulsé ne peut le faire, ce qui augmente les contractions de l'utérus. Ceci est à l'origine de coliques, d'inflammation, d'agrandissement de la matrice avec des hémorragies de 10 à 15 jours, ce qui nécessite plus tard d'enlever la matrice. Lorsque la femme se fait couper ou ligaturer les trompes, sa vie n'est plus la même et le plus grand problème est LA FRIGIDITE SEXUELLE. VOIR ANIMATIONS. 1 2 ENTREVUE AUDIO D'UNE VICTIME DE LA COUPURE DES TROMPES 1 2 3 4 5
.: PILULES ET INJECTIONS MASCULINES.
Extrait de la presse internationale. « La « PILULE MASCULINE » une méthode contraceptive révolutionnaire. Une étude de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui a été réalisée durant trois ans dans neuf pays a examiné l'efficacité des injections d'hormones aux hommes. Les essais ont eu un si grand succès que les chercheurs espèrent pouvoir trouver rapidement ce même traitement sous forme de comprimés. Dans un test type, un groupe de 28 couples,en traitement volontaire durant 12 mois nous indiqua qu'aucune grossesse n'était survenue.
Chez les hommes à qui on injecte chaque semaine de la testostérone, le nombre de spermatozoïdes va en diminuant pour arriver à zéro. A la différence de la vasectomie, le traitement avec les hormones est réversible et ne produit aucun effet secondaire. Définitivement et, dans peu de temps, les habitudes vont changer : ce seront les hommes qui prendront « la pilule » … C'est l'heure. »
On ne s'explique pas comment les scientifiques affirment que l'usage de pilules et d'injections à base d'hormones de synthèse, qui réduisent ou annulent la production de spermatozoïdes, n'ont aucune conséquence. Nous savons parfaitement que l'hormone de synthèse, la testostérone, envoie un faux signal à la glande pituitaire et celle-ci, à son tour bloque la fonction naturelle du testicule (production de spermatozoïdes). Il est logique que les testicules s'atrophient, ce qui amène une rapide et progressive IMPUISSANCE SEXUELLE.
Egalement, les hormones femelles prennent plus de force chez l'homme pour établir un équilibre, ce qui amène à l'homosexualité.
.: LA VASECTOMIE.
C'est une opération irréversible par laquelle, pratiquement, l'homme renonce à son propre sexe. La vasectomie est à l'origine de maladies auto-immunes et le plus grand problème est L'IMPUISSANCE SEXUELLE. VOIR ANIMATION 1
.: LE PRESERVATIF.
Il est non fiable à 40 % dans la prévention des naissances et aussi dans la prévention du SIDA, déjà que le virus du SIDA (HIV) est 450 fois moindre qu'un spermatozoïde. De plus, dans des expériences scientifiques réalisées et des informations dans la presse internationale, il a été démontré que le préservatif est perméable, en bon ou mauvais état. La relation sexuelle avec préservatif n'a aucun sens, vu que lors de la relation homme-femme, il se produit un merveilleux échange bio-électrico-magnetico-sexuel.
Dans ce sens, le préservatif est un isolant où pratiquement l'homme a une relation avec le préservatif. C'est comme si vous vous connectiez à une prise dans un plastique, il est évident que l'énergie ne circule pas. Des études ont été réalisées par Herman Sanchez Machet, physicien et spécialiste en films très minces, à l'Université Nationale. Sur 1.000 préservatifs de la meilleure qualité, achetés dans des chaînes de magasins, on a constaté que 400 avaient des pores de 20 microns, ce qui est une porte grande ouvert pour les spermatozoïdes qui mesurent seulement un micron et, le pire, c'est que le virus HIV est 450 fois plus petit qu'un spermatozoïde.
Le problème du préservatif est très complexe. On croit qu'en amenant les préservatifs dans les écoles et en les distribuant aux adolescents, aux prostituées, en faisant de la propagande à la télévision et dans la presse qui prônerait l'usage du préservatif, on pourrait enrayer la pandémie du SIDA.
Mais ceci est le résultat d'une augmentation sans aucun discernement des relations sexuelles entre adolescents de plus en plus jeunes. Alors, la relation sexuelle comme telle, se transforme, d'un acte d'amour en un acte de plaisir. Et notre société a commencé à perdre ses valeurs. Dans la Gnose, nous luttons pour le rachat de ces valeurs perdues, nous prônons la virginité des femmes et le respect des hommes pour leurs femmes. Nous n'approuvons, en aucun point de vue, les relations sexuelles non appropriées et, en général, toutes les pratiques qui entravent le libre échange magnético-électrique entre un homme et une femme qui s'aiment, comme lors de l'usage du préservatif.
Notre campagne contre la propagation du virus du sida est basée sur la promotion d'un changement de comportement face à la sexualité dans notre société. C'est un crime de « condomizer » les relations sexuelles ; ce qui est correct c'est de transformer le sexe « passion » en un sexe « digne », un sexe avec amour. En conclusion, le préservatif n'est qu'un grand leurre et un grand marché visant à exploiter l'inconscience humaine par les sociétés multinationales.
.: STERILITE MASCULINE.
L'Organisation Mondiale de la Santé, sur base d'une étude exhaustive, a donné à connaître dans un rapport que, en 1920, un homme disposait de 300 millions de spermatozoïdes par centimètre cube tandis qu'actuellement il n'en produit plus que 40 millions ; suivant ce rapport, l'homme est en train de perdre sa virilité et, continuer ainsi aboutira à la stérilité. L'excès sexuel et la masturbation affectent le système sexuel et créent des déséquilibres dans le système endocrinien. L'usage de nombreux aliments chimiques avec comme conservateur du Glutamate de Sodium, la consommation de poulet, poisson, viande, etc. d'aliments à base d'hormones de synthèse qui stimulent la croissance des cellules femelles stimulent l'engraissement de l'animal tandis qu'ils amènent à une croissance des cellules désordonnées, stimulent le cancer et la « féminisation » des hommes. Tout ceci amène progressivement à une perte de sa virilité. La science Gnostique et le CENTRE ANAEL ont des moyens qui permettent d'augmenter le nombre de millions se spermatozoïdes par centimètre cube.
.: LA THERAPIE HORMONALE DE SUSTITUTUION (TRH) EST UN ECHEC.
Le rapport scientifique officiel a été publié dans la revue « Journal of the American Medical Association ».
L'étude financée par le Gouvernement des Etats-Unis démontre que la thérapie conjointe d'Oestrogènes et de Progestérone prise durant plus de quelques années augmente le risque de développer des problèmes cardiovasculaires qui peuvent être mortels et, entre autres, un cancer, par la même occasion.
« Cela fut le changement le plus drastique dans la médecine » a dit la doctoresse Joann Manson qui ajouta « alors que c'était une norme, la thérapie hormonale est actuellement rejetée ».
Les scientifiques s'étaient rendus compte que la Thérapie Unique avec des Oestrogènes augmentait considérablement les probabilités de ce qu'une femme développe un cancer de l'utérus, raison pour laquelle on ajouta à la thérapie de la progestérone et ce fut alors que survint le grand échec. Les médecins disent que le message est clair : éviter les hormones pour prévenir les maladies du vieillissement.
Il y a de nombreuses années, le Centre Anael avait déjà dénoncé au monde les conséquences des oestrogènes de synthèse et la Thérapie hormonale, ce que la science a largement confirmé.
.: L'OSTEOPOROSE ET LES CONTRACEPTIFS.
L'ostéoporose est une maladie due à une trop forte déminéralisation de la masse osseuse.
La déminéralisation du calcium et des autres minéraux font que les os perdent leur résistance mécanique. C'est comme une construction faite avec du ciment de mauvaise qualité et, au moindre traumatisme, les os ostéoporeux se décalcifient et ainsi arrivent de terribles fractures. L'ostéoporose affaiblit les os, comme s'ils étaient « rongés ».
Auparavant, cette maladie était peu courante, mais actuellement, plus de cent millions de femmes souffrent de ce mal, dû à l'utilisation de contraceptifs antiovulatoires (injections, pilules et implants) qui empêchent l'ovule de travailler et de produire des oestrogènes ; la femme n'assimile pas le calcium, ce qui abouti, avec le temps, à la fameuse ostéoporose qui, pour tout cela est plus commune chez les femmes.
L'œstrogène produit par les ovaires ne sert pas uniquement dans le processus de reproduction mais il empêche la déminéralisation des os et voici ainsi une des graves conséquences des contraceptifs, en plus de la frigidité sexuelle progressive, la mauvaise circulation, l'obésité, l'augmentation de la pression artérielle, etc. Une autre cause plus grave, c'est quand la femme allaite ou donne le sein à son enfant et le médecin, totalement inconscient, lui prescrit des contraceptifs. Alors ceux-ci bloquent la fonction des ovaires qui ne produisent plus d'œstrogène naturel, le petit bébé, en plus que cela peut affecter sa sexualité avec des tendances homosexuelles, n'assimile plus le calcium, ce qui est à l'origine de la déminéralisation prématurée.
Une nourriture adaptée qui contienne des produits lactés en suffisance assure un apport journalier d'un gramme de calcium, ce qui est la meilleure garantie pour que les os aient une bonne densité. L'exercice physique aide à la fixation du calcium dans les os.
Certaines habitudes toxiques provoquent aussi l'ostéoporose : le tabac, la cigarette et l'alcool. Le tabac et les cigarettes provoquent la sécrétion d'oestrogènes, favorisant la ménopause précoce et empêchant la bonne oxygénation des os. L'alcool modifie l'absorption de la vitamine D qui aide à fixer le calcium. C'est pour cette raison que les fumeurs et les buveurs ont une plus grande propension à souffrir de fracture de la tête du fémur. L'administration prolongée de médicaments de type corticoïde aide à la destruction de la moelle osseuse et provoque l'ostéoporose.
…pero yo tengo dudas…
¡Hola! les cuento que hace 5 meses empecé a tomar pastillas anticonceptivas Dansel, son nuevas, creo me dijo mi ginecólogo que son muy suaves, pero yo tengo dudas y miedo que me hagan mal. Hay veces que me duele la cabeza, que tengo náuseas y he engordado 4 kg., pesaba 52 cuando las empecé a tomar y hoy a 5 meses que empecé a tomarlas peso 57 y me cuido muchísimo en las comidas. ¿Cómo puede ser?, ¿podrían decirme qué hago? yo no tengo hijos todavía, tengo 27 años y quiero saber si me puede traer problemas en el futuro. Gracias desde ya. Silvia. Argentina.
…me sorprende el ver cómo juegan con nuestra salud…
Soy de Puerto Rico y tengo 29 años. Sólo escribo para contarles sobre mi horrorífica experiencia con la depo-provera. Al principio no volví a ver menstruación, luego comencé a sentir dolores de cabeza, cansancio todo el tiempo, dejadez, aumenté 15 libras (y toda la vida he sido delgada, nunca aumentaba mas de media libra) ¡je je! Sentía mucho sueño y por más que dormía me sentía igual, cambios de ánimo, pérdida de cabello. Eso y algunas cosas más fue durante dos años; cuando decidí no volver a ponérmela comenzó lo peor.
...¿a qué se debe ésto?...
Tengo 24 años y 3 tomando pastillas, pero ya he perdido el apetito sexual y tengo dos meses que no me baja mi regla, ¿a qué se debe ésto?. Y si pudieran darme alguna respuesta de cómo ayudarme. Mariana. México.
…estaba a punto de ser víctima de los métodos anticonceptivos…
Sólo quiero decirles que estaba a punto de ser víctima de los métodos anticonceptivos pero decidí que necesitaba más información e investigué mucho antes de hacerlo. Cancelé mi operación de Ligadura de tubos una hora antes de la cirugía, estaba aterrorizada de los síntomas y pensé en el Dispositivo, pero no pude por razones médicas y mientras, he estado con la pastilla de progesterona. He leído la forma en que nos afecta y dejé de tomarlas, decidí no tomar nada.
…no siento absolutamente nada…
Me llamo Brenda, tengo 19 años y hace uno empecé inyectarme la Perlutal. Al principio no sentía nada de cambios, pero hace 5 meses empecé a notar que mi cara se llenaba de espinillas y granos, además hace tres meses que no siento absolutamente nada al hacerlo con mi pareja. Mi pregunta es ¿será acaso que las inyecciones me están perjudicando?. México.
"El hombre superior gusta de ser lento en palabras, pero rapido en obras."
...no quiero perder mi matrimonio…
Soy de Venezuela, de verdad adoro a mi esposo, pero no sé por qué ya no me provoca tener relaciones. Él se molesta y pelea mucho conmigo, dice que tengo otro, pero eso no es así. Tengo dos bebés y no quiero más por ahora, por eso tomo pastillas desde hace como tres años. ¿con qué me cuido entonces? ¡ayúdenme, por favor! no quiero perder mi matrimonio. Alejandra.
…me siento muy mal…
Me llamo María y tengo 8 meses tomando pastillas anticonceptivas Yasmín, mi problema es que desde hace dos meses no siento apetito sexual y la verdad me siento muy mal con mi pareja. No sé qué hacer puesto que he escuchado que las pastillas provocan eso, además, 3 días antes de que llegara mi sangrado empecé a tener flujo de color café. ¿Podrían ayudarme? México.
...¿es cierto?...
Antes usaba pastillas anticonceptivas, pero mi ginecólogo me las suspendió porque olvidaba tomarlas normalmente, me recomendó Mesigyna... ¡error! me hizo pésimo, llevaba cinco meses sin menstruar, me llené de acné en la frente principalmente (nunca había tenido en esa zona) y además subí 5 kilos de peso... me dolían y ardían los pechos y carecía de apetito sexual... ahora el doctor me recetó unas inyecciones cada tres meses, las cuales impedirán la menstruación... mi pregunta es ¿pasaré por lo mismo?, el sexo es algo muy importante para mí.
…llevo casi 2 años sin menstruar…
Yo soy de Perú, tengo 22 años y hace casi dos que utilizo el método anticonceptivo de inyecciones de tres meses Depropovera, pero me preocupa que ya no menstrúo desde que me puse esas inyecciones, o sea, llevo casi 2 años sin menstruar, y eso me preocupa. No sé si mañana más tarde me traiga alguna mala consecuencia, quisiera por favor me informen, gracias. Elizabeth.
Les cuento mi caso y les pido consejo.
Tengo 26 años, a los 21 me detectaron vph (Virus del Papiloma Humano), con displasia moderada. No llegué a tener cáncer, gracias a Dios. Costó mucho, pero llegué a controlarme el problema, con varias cirugías. Luego me detectaron a los 25 años, abundantes quistes en ambas mamas, supuestamente benignos. Luego ahora, a los 26, me detectan ovarios poliquísticos y el mismo ginecólogo que me ha visto me receta pastillas anticonceptivas para curarme de los quistes y de paso también planifico. Aunque las posibilidades de tener hijos son escasas.